Collection Candaulisme. Différence DÂge. Choix Cornélien (11/14)
Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, jessaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.
Je suis votre Maître, Anne et Océane.
Oui, Maître Christian.
Une nouvelle fois, ces trois mots « Oui, Maître Christian » scelle nos destins, après quOcéane, follement amoureuse de mon maître, lui eut fait une fellation montrant une grande habitude, elle qui se dit vierge.
Une photo de sa famille mapprend quelle a une sur et un cousin efféminé, allant même jusquà se travestir et avoir les cheveux longs lui donnant lallure dune fille !
Tu te trompes, cest un qui est né avec un pénis.
À la puberté, des seins se sont développés.
Ils ont fait des recherches et ont trouvé des chromosomes XX faisant de lui une fille.
Mais surtout une erreur de la nature, comme il en arrive de temps en temps, lui ayant attribué un pénis.
Jai vu un reportage, cest un inter-sexe.
Sur la photo, un homme blanc semble poser un problème à Océane, elle mavoue quelle était sous la coupe de ce beau-père qui la forçait à lui faire des fellations.
Jai mieux compris son expérience avec la bite de notre Maître.
Un jour le beau-père a voulu la sodomiser, elle sest défendue en lébouillantant avec de lhuile quelle faisait chauffer, le rendant borgne par la même occasion.
Elle lavait cru mort et a fui en France où elle est devenue cuisinière, chef dentreprise dune société de plats préparés bourguignons pour nos soirées de fête.
Pour compléter le tableau de la journée riche en événements, Christian, notre Maître, dans son fauteuil nous voit faire une entrée remarquée dans le salon, avec ma nouvelle amie.
Nous sommes tenues en laisse, nues avec uniquement un collier autour du cou, par Renaud mon homme.
Pouvons-nous la voir ?
Renaud regarde cette chienne qui se permet de me poser des questions !
Oublient-elles que lorsque lon appelle quelquun Maître comme elles ont accepté de le faire, on attend quil vous adresse la parole.
La seule chose que jaccepte dentendre, cest « Oui, Maître » ou si tu as vraiment quelque chose à me dire « Puis-je vous poser une question Maître ».
Suivant mon humeur, je taccorderais la parole.
Je manque de lui rétorquer que suis libre malgré ma soumission.
Je regarde Océane qui dun regard me fait comprendre quil vaut mieux que je me taise.
Anne, je vais tout de même répondre à ta question, mais seulement après que tu ais fait un choix !
Jai une nouvelle fois failli dire « lequel ».
Le même regard dOcéane me fait une nouvelle fois fermer ma bouche.
Si je te réponds, tu acceptes de moffrir Océane, ou tu acceptes que mon maître-chien te tanne le cuir de la peau de tes fesses avec sa cravache.
Le salaud où je lui livre Océane où je reçois des coups de cravache.
Jaime jouer, je le regarde dans les yeux le défiant du regard.
Puis-je vous répondre Maître ?
Dun signe de tête lautorisation vient.
Vous croyez me piéger Maître, je choisi les quelques coups de cravache de votre maître-chien.
Jaime que mes chiennes prennent leur décision, je vais vous dire.
Si la cave à vin vous est accessible, le code de huit chiffres étant 19502018.
Pour la grande cave, je louvrirais le samedi soir pour linauguration de mon gîte échangiste.
Avant que tu ne toccupes du cul de ta femme Renaud, jaurais besoin didées pour cette journée que je veux mémorable.
Demain je te ferai descendre la voir.
Christian avant de mettre ta punition a exécution, une chose me chagrine, faudra-t-il que les clients sortent pour rejoindre ta cave et dans ce cas que feras-tu sil pleut ?
Tu es perspicace Renaud, tu mérites que je fasse de toi mon bras droit.
À cet effet, comme tu es à la retraite, jaimerais quavec nos soumises tu sois là lorsque les invités du premier jour et les clients les autres semaines seront là.
Je manque de lui répondre « oh ! Oui » trop contente que ce soit mon Maître qui me propose ce que jespérais, faire partie de ce que je pressens, des week-ends chauds.
Chauds par latmosphère et chauds par la température extérieure pendant ces trois mois dété.
Quant à ta question sur la pluie, je ne vous ai pas tout dit et tout montré.
Nous nen avons pas eu le temps, cest dans la tour carrée que tout se passe, vous verrez, je vous montrerai.
Avant que vous puissiez voir la salle construite dans la cave par grand-père Hugo, mamy Patty ma expliqué ce quelle a subi avec de plus en plus de plaisir pour lui plaire.
Je nen dis pas plus, mais je vais vous parler de mon papa et de ma maman.
Une nouvelle fois, je me tais, alors que jallais parler.
Je me souviens à temps de la volée de cravache qui ma été promise et quil semblerait avoir oublié.
Javais pris goût à la séance de flagellation dans mon bureau à Mâcon, mais si je pouvais éviter davoir mal au cul tout au long de la journée de dimanche, pourquoi sen priver.
Jai bien fait de me taire, il embraye dans le sens de la question que jallais poser :
« Quand commence la prise de conscience que tes parents étaient des libertins, mieux même en premier lieu sil savait que son père nétait pas son père et que celui-ci était un sadique qui martyrisait sa mère ? »
Alors il raconte.
Quelque temps après la naissance de son fils, le lait dans les mamelles de sa femme est venu à manquer, certainement après le traitement quil lui faisait subir.
Mon père a été confié à Berthe qui venait davoir un fils mort-né.
Il a grandi dans sa maison, jusquà ce que son père soit frappé par une hémiplégie.
Il fallait le bouger, de son lit à son fauteuil, ma grand-mère a demandé à son fils de revenir chez eux.
Avant, il ne venait jamais au manoir, de toute façon le bruit que mon grand-père était brutal avait couru dans la campagne.
Berthe de son côté venait de perdre son mari et tout naturellement, ils sont venus habiter au manoir.
Lui dans la chambre bleue que tu as cassée au début des travaux et elle pour garder la distance entre maître et serviteur dans lune des pièces qui se trouve au-dessus des garages.
Depuis son départ, je men suis servi de remise, au moment de la rénovation, un tas dobjets hétéroclites qui étaient dans ces pièces y ont été entassés.
Mon puzzle commence à se mettre en place, jai toujours en tête daider Océane pour ses problèmes avec Orlane et Mérédith.
Christian continue, je lécoute religieusement. Plus le temps passe et plus la spatule de la cravache que Renaud tape dans sa main, semble séloigner.
Un jour il a vu que son père tenait quelque chose dans sa main, ça la intrigué, il a fini par réussir à lui faire lâcher, cétait une clef.
Grand-mère ma expliqué quil avait fait le tour des serrures.
Un après-midi, il est venu la chercher pour lui demander à quoi servait cette cave.
Il sarrête semblant chercher ses mots.
Océane est suspendue aux lèvres de celui quelle aime, se demandant certainement quand jallais lâcher les chevaux, faisant delle une femme à part entière.
Sa main commence à se poser sur sa tête, il la caresse pour descendre sur son sein, sa fraise se durcir et se granule, elle réagit à lattouchement.
Elle frémit, ses petits tétons sont fripés.
Cest surtout leur regard qui minterpelle, il faut que je trouve le moyen de les donner lun à lautre car sinon mon avantage tombera à leau.
Je maperçois que la queue de notre Maître redresse la tête.
Je décide de me redresser, de lenfermer entre mes seins montrant que ma forte poitrine, contrairement à celle qui est devenue mon amie, est capable de lui faire une branlette espagnole.
Cétait sans compter sur la laisse que jai toujours au cou et que tient Renaud.
Il doit la lâcher, mais Christian la capte et tire fortement me bloquant mempêchant de bouger.
Renaud, navons-nous pas promis à notre belle salope, quelques coups bien placés sur son fessier ?
Je crois men souvenir, tiens là bien, son cul est bien dégagé.
Pour être bien dégagé, il est bien dégagé.
Je suis nue de nue.
Les premiers coups bien à plat de la spatule tombent bien méthodiquement, je vais passer mon dimanche avec obligation de les reposer sur un coussin.
Ça profite au Maître, je suis à moitié couchée sur lui et sa verge est en contact avec mon nombril.
Un seul problème, outre la douleur que mapporte la cravache, mon collier est tendu et commence à m.
Maître Christian, regardez ce que vous faites.
Oh ! Pardon.
Ouf, la pression se relâche, mon amie ma sauvée.
Par chance ma bouche est à la hauteur de celle de mon maître, sa langue cherche la mienne, jai mal au cul, mais jadore la salive que nous échangeons.
Un peu essoufflés, nous nous séparons.
Au lit, venez dans ma chambre, le lit est assez grand pour nous quatre.
Ils ont été conçus pour ça.
Anne, je te promets dêtre sage avec Océane.
Parole divrogne, mais je vais faire ce quil faut pour quil ne profite pas de la situation
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